comédie musicale celtique que j'ai commencé à écrire
COMEDIE MUSICALE CELTIQUE
LES 4 BRANCHES DU MABINOGI
PERSONNAGE
4 Druides : Strabon, Tacite, Lucain et Ausone
Pwyll : Seigneur de Llys
Rhiannon : Femme de Pwyll
Prydéri : Fils de Pwyll et Rhiannon
Arawn : Chasseur venu d’un autre monde
Hafgan : ennemi d’Arawn dans l’autre monde
Teyrnon : Seigneur de Gwent Is- Coed
Famille Mac Llyr de Harddlech :
Branwent : La fille
Bendigeit : Le fils, son prénom signifiant « Corbeau »
Evnyssen : Leur frère
Matholwch : Fiancé de Branwent
Math : Seigneur de Gwynedd ( fils de Matholwch)
Gwydyon : Magicien
Ogmios : Dieu potentiel de la vie de l’Univers
Sucellos : Dieu géniteur qui éjacule la vie dans le sein de la mère féconde
Afin qu’elle donne naissance sous toutes ses formes
Nuadha Airgeadlämh : Déesse des forces guerrières
Dianchech : Dieu des besoins vitaux
Arianrod : Vierge porte- pied
Blodeuwedd : Femme de Llew Llaw
Gronw Pebyr : Amant de Blodeuwedd
Llew Llaw : Second fils de Arianrod
Fils de Math
3 batailles pendant l’histoire : - Bataille de Moytirra
- Bataille entre Irlande et Angleterre qui opposera
Evnyssen et Matholwch
- Deuxième bataille de Moytirra
Quatre fêtes saisonnière : 1 et 2 février : Lactation des brebis
1er mai : Fête de Beltaine(Feu de Bel) : elle
ouvrait la saison du pâturage et
accueillait l’été et la chaleur du
soleil qui ferait mûrir les cultures
Fête de Lugnasad : 1er août : moisson, les festivités
Duraient un mois.
Samain : 31 octobre et 1er novembre : Elle
Marquait le début de l’hiver et la
Nouvelle année celtique. La
Samain annonçait la période
Pastorale où l’on rentrait les
Bêtes dont certaines était abat-
Tues et d’autres gardées pour la
Reproduction.
L’HISTOIRE
Première branche du Mabinogi ( p229 et 230)
Le roi Pwyll de Démétie, se trouvant un jour sur une colline magique près de son château de Naberth, est intrigué par l’allure d’une belle inconnue chevauchant une jument blanche au pas sur la voie royale en contrebas. Il envoie d’abord l’un de ses suivants interroger la fille mais celui-ci a beau courir à en perdre haleine, il ne réussit jamais à s’approcher de la cavalière qui pourtant ne semble pas forcer l’allure. Pwyll revient le lendemain au même endroit et, quand la cavalière se montre sur la route, il la fait poursuivre sur le cheval le plus rapide de ses écuries… mais son coursier a beau crever la bête, il ne parvient pas à s’approcher du cheval pâle pourtant toujours mené d’un pas tranquille. Pwyll revient le troisième jour et amène cette fois son propre étalon : quand l’inconnue apparaît à nouveau, il le lance à sa poursuite, donne tant et plus des éperons et ne gagne pas un mètre sur la jument au pas. Quand son étalon s’effondre sous lui, Pwyll hèle enfin la cavalière…qui s’arrête aussitôt en se gaussant qu’il n’ai pas fait sa demande avant ! Elle lui révèle alors de bon cœur qu’elle se nomme Rhiannon dille d’Efydd Hen( l’Ogmios galois : voir p.295) que son père la promise en mariage mais qu’eprise de Pwyll sur sa seule réputation, elle est décidée à n’avoir pas d’autre époux que lui. Elle est si belle que Pwyll accepte aussitôt et, après quelques rebondissements et mésaventures, le mariage a lieu.
Au bout d’un an, Rhianno donne enfin naissance à un fils. Hélas, la nuit même de sa naissance, l’enfant disparaît mystérieusement et les dames de compagnie de la reine, qui se sont endormies au lieur de veiller, craignent de devoir répondre de cette disparition : elles décident donc de rejeter la faute sur Rhianno en lui barbouillant le visage du sang d’un chiot et d’ainsi l’accusé d’avoir dévoré son fils. Sur leur témoignage, Rhiannon est déclarée coupable et condamnée à porter sur son dos comme une jument, tous ceux qui se présenteront à la cour de Pwyll, pendant 7 ans.
La même nuit, et en doublet évident, un seigneur du nom de Teyrnon soit sa merveilleuse jument mettre bas un poulain sans pareil, mais qu’un monstre griffu tente d’enlever dès sa naissance ; Teyrnon réussit à mettre le monstre en fuite et il trouve un garçonnet nouveau- né à côté du poulain. Après cinq ans on découvre que le garçon est en fait le fils de Pwyll et de Rhiannon : il est rendu à ses parents et reçoit, en place de son premier nom « Solaire » Gwry Gwallteuryn, le nom de Pryderi.
Deuxième branche
Pwyll parti chassé le cerf manque à son code d’honneur en s’appropriant le butin d’un autre chasseur. Pwyll honteux, ne peut se racheter qu’en prenant la place d’Arawn pendant un an, après quoi, il devra affronter Hafgan et devra retrouver Arawn à Glin Gluch. Arawn et Pwyll s’échangent les maisons mais ni l’un ni l’autre n’a le droit de coucher avec la femme de l’autre, ils se le promettent. Après la mort de Pwyll qui attristera beaucoup Arawn, Pryderi se liera lui aussi d’amitié avec le vieux chasseur qui lui fera un cadeau précieux : Les premiers porcs du pays de Galle. Pwyll sera appelé le seigneur de l’autre monde.
Troisième branche
Branwen, se fiance avec le roi d’Irlande Matholwch. Bendigeit, le frère de Branwen s’y oppose mutilant les chevaux de Matholwch. Matholwch semble apaisé par les offrandes de Evnyssen second frère de Branwen parmi lesquels un chaudron magique qui rend la vie aux guerriers trepassés. La rancune de Matholwch couve et il traite sa reine en serve, la reléguant en cuisine ou le boucher lui administre tous les jours un soufflet. Matholwch fait tout pour que rien ne se sache mais Branwen prend son destin en main et informe Bendigeit de son triste sort. Evnyssen déclare la guerre à l’Irlande. Il traverse la mer, les armées s’affrontent et la victoire est au gaulois mais Bendigeit est grièvement blessé par une lance empoisonnée. Il demande à ses hommes d’abréger ses souffrances en lui coupant la tête et de l’emporter avec eux à la Colline Blanche à Londres et de l’enterrer en face à l’Est. A la Colline Blanche, ils entendent chanter les oiseaux magiques de Rhiannon. Branwen meurt au pays de Gaules.
Quatrième branche
Arianrod postule auprès de Math la place vacante de Vierge porte- pied mais elle échoue à l’épreuve attestant sa virginité donnant naissance à deux fils au moment ou elle marche sur le bâton magique de commandement de Math. Arianrod jette trois malédictions sur son second fils : il n’aura pas de nom tant qu’elle n’aura pas décidé de lui en donner un, il ne portera pas d’arme tant qu’elle ne l’aura pas munis et il n’aura pas d’épouse de l’espèce qui peuple cette terre. Le magicien Gwydyon, amène Arianrod à nommer le garçon, il se nommera Llew Llaw Griffes( Le brillant à la main agile) et à l’armer. Math et Gwydyon font pour Llew une femme avec les fleurs de chêne, ils la nommeront Blodeuwedd. Blodeuwedd née sans racine donc sans moralité, est infidèle : avec son amant Gronw Pebyr, elle menace Llew de le tuer s’il ne lui révèle pas la formule secrète qui lui garanti l’invulnérabilité. Lorsque Llew adopte la seule position, Gronw qui était caché, le blesse d’un coup de lance. Mais au lieu de mourir, Llew pousse un cri strident se transformant en aigle, se perche sur un chêne. Gwydyon lui rend sa forme humaine en même temps Blodeuwedd est transformée en chouette
ACTE 1
Alow : Seigneur Pwyll, mes Hommes et moi- même avons
Aperçu une belle Damoiselle marchant dans le village de Sabareth. Peut- être est- elle destinée à devenir votre Promise si Ogmios le veut bien.
Pwyll : Pourquoi, ne l’avez- vous pas rattraper et
Emmenée jusqu’à mon beau château de Naberth
Afin qu’elle devienne ma Reine ?
Alow : Nous avons bien essayé, mais c’est que la damoiselle
Fut impossible à atteindre.
Pwyll : Vos dires me paraissent hérésies mon cher alow Si vos paroles furent erronées je vous ferai tranché la tête.
Alow : Que mon Seigneur ne s’irrite pas de la sorte mais plutôt qu’il me suive jusqu’à cette mystérieuse Damoiselle
Pwyll et son valet se dirigèrent à la rencontre de cette jeune inconnue.
Alow : Est- ce- que mon Seigneur la voit ? Mes dires ne furent pas des hérésies.
Pwyll : Oui, mon bon Alow, je l’aperçois. Qu’elle fut
Belle, ses cheveux sont tels des champs de blés en été, son teint est aussi blanc que l’innocence ses yeux sont tels deux onéreux rubis dans lesquels
Mon cœur ne put s’empêché de s’y noyer.
Alow : Je vous avais dit qu’elle fut belle mon Seigneur
Pwyll : Envoyez- moi, mon meilleur suivant qu’il rattrappe
Cette beauté.
Alow : Oui, mon Seigneur vos désirs furent des ordres !
Alow s’en fut allé chercher le meilleur suivant de Pwyll au château de Naberth. Pendant ce temps Pwyll regarda admiratif cette jeune inconnue.
- 1. BELLE COMME LE CIEL(Pwyll)
Belle comme le soleil d’un matin vermeil
Au côté de qui j’imagine mes réveils
Personne ne pourra valoir ta pareille
Tu es si belle, en moi mon cœur s’éveille
Belle, comme un paradis blanc sans nuage
Avec toi je ne serai jamais volage
Je te jure fidélité et mariage
Et tu porteras la vie d’un petit Ange
Belle, comme le première rosée du matin
Nous dormirons dans de beaux draps de satin
Avec moi jamais tu connaîtras la faim
Et nous resterons ensemble jusqu’à notre fin
Refrain
Belle, comme le ciel toi ma dulcinée
Plus jamais tu ne devras pleurer
Car à jamais tu seras aimée
Par moi ton Seigneur ta moitié
Belle, comme une Déesse venant tout droit des cieux
Tu es la plus belle chose que puissent voir mes yeux
Que me pardonnent tous les plus puissants Dieux
De te regarder avec des yeux vicieux
Belle, comme la plus magnifique rose du Monde
Pour toi, je referai en entier le Monde
Pour te trouver, j’ai fait toute une ronde
Comme Candide pour retrouver sa Cunégonde
Refrain (3 fois)
Alow, comme promis revint avec le meilleur suivant de Pwyll.
Alow : Que mon Seigneur me pardonne d’avoir mis autant de temps.
Pwyll : Vous êtes tout pardonné mon cher Alow, je chantai en l’honneur de l’Amour
Que j’éprouve pour cette Damoiselle si belle.
Le suivant : Ce cher Alow m’a dit quelle fut ma mission, j’y cours immédiatement
Le suivant courut après l’Inconnue mais en perdit vite le souffle il s’étala à terre.
Pwyll : Cette Damoiselle me ferait elle l’audace de me résister ? Alow, je vous ordon-
Ne d’aller chercher le cheval le plus rapide de l’écurie ! Et soyez plus rapide
Qu’au passé.
Alow : Oui, mon Seigneur, je m’en vais sur le champs.
Alow partit chercher le cheval mais même scénario que pour le suivant, le cheval perdit haleine et s’effondra.
Pwyll : S’en fut assez, je m’en vais moi- même la chercher ! DAMOISELLE !
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